Fédération de l'Oise

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Tableau des initiatives du Front de Gauche pour les Européennes

le 09 mai 2014

Tableau des initiatives du Front de Gauche pour les Européennes

Campagne des élections européennes du Front de gauche dans la Vienne et les zones limitrophes : calendrier des initiatives

10 mai  Ruffec

Rencontre de la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité ( participation d’Anne Joulain )  

12 mai Availles Limouzine,   Adriers,Condac : initiatives avec Xavier Compain n° 2 sur la liste Fde G Ouest, responsable des questions agricoles au PCF

 

12h/14h30 Availles Limouzine, Salle des fêtes, réunion publique / casse croûte : Les décisions de Bruxelles, quelles conséquences pour la vie de nos villages

 

15h30 /17h30    Adriers, ferme d’André Berthomier au lieu dit « Les Fontaines » rencontre avec des agriculteurs

 

20h Condac, réunion publique 

 

13 mai Grand meeting régional à Niort avec Myriam Martin, Françoise Verschère, Xavier Compain, Sylvie Mamet  

Renseignements et inscriptions 05 49 60 34 14 : Cars gratuits

Châtellerault : Départ parking  de la Manu ( place Henri Roy) à  18h30

Poitiers : Départ à 18h45 du parking du Parc des expositions

 

 Niort : meeting au  Dôme de Noron, Parc des expositions

15 mai Lusignan

19h Bar «  La mélu »,  apéritif convivial de campagne.  Contact 06 86 41 35 12

19 mai Châtellerault

Marie – Claude Robin, dirigeante syndicale en Loire Atlantique, candidate sur la liste Front de gauche 

Anne Joulain candidate sur la liste Front de gauche dans la Vienne

De 11h 30 à 14h aux Salons du Marais ( ZI de la Palue  )  Marie- Claude Robin :   rencontre avec les syndicalistes

 

A 18h30 réunion publique avec Anne Joulain à la salle Camille Pagé : « l’ industrie »

19 mai Saint Benoît

Myriam Martin, tête de liste du Front de gauche

Myriam Martin, tête de liste du Front de gauche, sera en meeting à Saint-Benoît le lundi 19 mai à 18h, à la salle du Val du Clain. Elle sera accompagnée de Pascal Canaud et Yves Jamain, porte-paroles du Front de gauche de la Vienne.

 

Européennes. "Le vote Front de gauche compte triple"

le 09 mai 2014

Européennes.

La Provence, le 9 mai 2014

Aix-en-Provence. "Fête de la liberté", le PCF célèbre le 8 mai

le 09 mai 2014

Aix-en-Provence.

La symbolique du 8 mai pour eux, c'est la victoire sur le fascisme et la mémoire du sacrifice de leurs camarades.

La Provence, le 9 mai 2014

Aix-en-Provence. « Qui ne connaît son histoire est condamné à la revivre »…

le 09 mai 2014

Aix-en-Provence. « Qui ne connaît son histoire est condamné à la revivre »…

Double commémoration de l’Armistice, d’abord par les communistes en hommage aux résistants tués par les nazis avant l’officielle place Jeanne d’Arc.

C’est un 8 mai au pas de course qui a démarré hier matin au local du Parti communiste où une délégation de militants, s’est rendue place Jean Boyer pour déposer un bouquet de fleurs sur la plaque commémorative d’Ernest Prados.

Florence Pin, Secrétaire de section des Jeunesses Communistes, rappelait en préambule : « Ernest Pardo est né à Aix en 1921. Membre des JC avant de s’engager comme volontaire en Espagne à 15 ans auprès des Républicains, il devient Résistant pendant l’occupation. Arrêté le 19 juillet 1944, il a été lâchement fusillé dans le dos, à 23 ans, par une patrouille allemande ». Evoquant l’actualité « en écho à ce qu’Ernest et les communistes ont combattu », Florence Pin dénonce la politique du gouvernement Hollande : « qui a promis le changement mais a pris une direction tout autre. Depuis 2 ans, F. Hollande, à la botte de l’Union Européenne, ne fait qu’approfondir les réformes de N. Sarkozy, enchaînant les réformes au service du capitalisme, ce qui ne fait qu’accroître les difficultés des travailleurs, les plongeant dans une désillusion. Comme dans les années 30, les peuples tombent dans le piège d’un discours démagogue et populiste, pas progressiste, renforçant l’extrême-droite, qui est appuyée par les plus grandes puissances impérialistes comme en Ukraine où les Etats-Unis et l’UE soutiennent le parti Svoboda et les milices fascistes ». Et de conclure : « Face à cette alarmante progression de l’extrême droite, il est d’autant plus important de rappeler l’histoire comme le disait K. Marx : « Celui qui ne connaît pas son histoire est condamnée à la revivre ».

A 10h, la délégation communiste a rejoint le cimetière Saint-Pierre où un dépôt de gerbes a été effectué par Léo Purguette (Secrétaire de section) et Anne Mesliand (Conseillère régionale Front de gauche), précédé de la lecture du texte d’Eluard « Faire vivre ». Léo Purguette rappelant : « La Résistance n’appartient pas aux communistes mais les communistes appartiennent à la Résistance ».

A 11h, le monument aux morts, place Jeanne d’Arc s’est prêté à la commémoration en présence des officiels. Sylvie Prioleaud, représentant le sous-Préfet, soulignait 69 ans après l’Armistice : « Cette paix a un nom, une histoire, un territoire, c’est l’Europe, celle qui a su nous préserver de la guerre ». Hier, aucun élu du Front national n’a daigné se déplacer.

Houda Benallal (La Marseillaise, le 9 mai 2014)

Rencontre avec André Chassaigne

le 09 mai 2014

Rencontre avec André Chassaigne

Appel de Marie-Françoise Palloix à voter Front de gauche le 25 mai

le 09 mai 2014

Appel de Marie-Françoise Palloix à voter Front de gauche le 25 mai

Pays d'Arles. Le collectif Stop Tafta s’organise

le 08 mai 2014

Pays d'Arles. Le collectif Stop Tafta s’organise

Pour s’opposer au traité, une motion sera déposée en Mairie.

Depuis juillet 2013, l’Union européenne et les États-Unis sont en pleine négociation pour conclure un accord de partenariat transatlantique sur le commerce et l’investissement, autrement appelé Tafta. Un traité qui inquiète de nombreuses collectivités en France et ailleurs. C’est le cas en Provence où plusieurs collectifs anti-Tafta se sont créés depuis quelques mois.

Le 24 avril naissait le collectif arlésien (le 30e en France), regroupant les partis politiques locaux Europe-Écologie-Les Verts, la Gauche anticapitaliste, le NPA et le PCF, les syndicats, FSU, SUD Education et CGT, et les associations Attac, Filière Paysanne ou encore Démocratie réelle. Son objectif principal : informer sur ce traité négocié dans l’opacité et s’y opposer. « L’objectif annoncé du traité est l’élimination ou la réduction de politiques nationales jugées superflues, donc tout ce qui peut freiner ou empêcher l’investissement d’une multinationale est dans le collimateur : un moratoire sur les OGM, une législation sur le travail trop protectrice, une norme sanitaire interdisant les hormones de croissance pour le bétail… », explique Jérôme Sequier d’Attac, évoquant un traité qui « mettrait en place une justice permettant aux multinationales de poursuivre les Etats qui entravent leur business ».

Les normes salariales, sociales, sanitaires, alimentaires, environnementales de chaque pays seraient alors mises en danger : « Une entreprise pourra réclamer des dommages et intérêts au pays ou à une collectivité si une norme est estimée comme une menace à sa rentabilité et ce ne sera pas les tribunaux nationaux qui régleront ces conflits mais des Organismes de règlement des différends. » Des impacts qui toucheraient toutes les sphères politiques : « Il y aura des conséquences aussi pour Arles, on s’inquiète pour le bio dans les cantines, la qualité de l’eau, la biodiversité… », égrène Claire Billès de la FSU. D’où le dépôt d’une motion par le collectif auprès de la Mairie d’Arles. Motion qui sera soumise au prochain Conseil municipal, le 14 mai, et proposant qu’Arles rejoigne les collectivités qui se sont déclarées « Zones hors Tafta », s’opposant au traité. C’est d’ailleurs déjà le cas de la Région Paca.

Le collectif sera également présent ce samedi au marché pour une distribution de tracts à partir de 10h, suivi d’un apéro-discussion vers 11h30, place de la République, afin d’informer les Arlésiens : « Il faut que les gens soient au courant de ce qui se passe, ce traité de libre-échange, ce sera un commerce déchaîné », conclut, soucieux, Hannes Lammler du Forum civique européen, membre du collectif.

Maud Fontanel (La Marseillaise, le 8 mai 2014)

Pour aller plus loin, un livre sur le traité : « Dracula contre les peuples » de Patrick Le Hyaric, Député européen et directeur de « l’Humanité ».

Martigues. L'ultime temps fort du festival documentaire des luttes

le 08 mai 2014

Martigues. L'ultime temps fort du festival documentaire des luttes

Après une escale au  cinéma Renoir mardi, rendez-vous jusqu'à dimanche à la salle du Grès.

La Provence, le 8 mai 2014

Appel de Patrick Magro à voter Front de gauche le 25 mai

le 08 mai 2014

Appel de Patrick Magro à voter Front de gauche le 25 mai

A 200 des mes amis et connaissances , qui ne votent pas forcement Front de Gauche.

Marie Christine Vergiat a été pendant 5 ans une députée européenne active, disponible et engagée sur nos valeurs communes. Au moment où la domination de la finance sur la politique provoque désespérance, abstention et vote FN, la dispersion à l'infini peut très négative et aggraver les mauvais résultats globaux des municipales, occulter la perspective dont nous avons impérativement besoin.

Avec 23 listes il y a besoin de se rassembler au moment où il apparaît clairement que pour s'en sortir il faut construire  une force qui devienne la première à gauche. Même si c'est compliqué et difficile, il n'y a pas d'autre solution pour redonner espoir et éviter l'UMPFN dans les années à venir. Donc attention aux vraies listes PS mais dissidentes, aux fausses listes communistes et à l'éparpillement objectif qui menace quand se profilent 23 listes et que le FN risque de sortir en tête le 25 mai.

Attention aussi aux appels irresponsables au boycott sur fond de sortie de l'Euro, c'est à dire une "marche arrière sur autoroute".

Marie Christine Vergiat sera à Marseille le mercredi 21 mai . Avant cela vous pourrez aussi rencontrer Anne Mesliand, notre candidate des Bouches-du-Rhône, 3ème de la liste du Sud-Est et au Grand Pavois à Septemes le dimanche 18 mai, à l'initiative du PCF et du Front de Gauche.

Le 25 mai s'abstenir c'est voter FN, se disperser c'est s'affaiblir et préparer leur arrivée quand la porosité avec l'UMP sera totale. Quand au PS vous me permettrez de ne rien en dire.

Amitiés à toutes et à tous.

Patrick Magro

 

 

Pays d'Aubagne. Un terminus brutal et des rails d’incertitudes

le 08 mai 2014

Pays d'Aubagne. Un terminus brutal et des rails d’incertitudes

Tramway. En stoppant le projet phare de l’ancienne majorité, la droite satisfait ses électeurs. Mais l’hypothétique report vers Valdonne cache à peine les conséquences sous-jacentes de cet arrêt.

Les nouvelles majorités municipale et communautaire ont assurément voulu frapper un grand coup politique pour inaugurer leur mandat : arrêter le tramway. Une décision qui semble à première vue légitime étant donné le verdict des urnes sur un sujet qui a largement cristallisé les débats lors de la campagne.

En sonnant le glas de « ce projet pharaonique et inutile », selon Sylvia Barthélémy, elle et Gérard Gazay, Maire d’Aubagne, ont, pour le moment, réalisé une promesse électorale des plus aisées. Pour la Présidente de l’Agglo, il est facile d’affirmer, en Conseil communautaire du 29 avril dernier, que « ne pas engager la phase 2 du tram  permettra d’économiser environ 56 millions d’euros sur la période 2014-2017 ». Mais, au final, à quel prix sur le long terme ?

Huit rames pour 2,7 km

La seule certitude aujourd’hui, c’est qu’en septembre, un tramway, circulant sur 2,7 km, reliera le Charrel au pôle d’échanges, les travaux de la phase 1 étant quasiment achevés, la nouvelle majorité ayant bien confirmé sa mise en service et inauguration.

Sylvia Barthélémy et Gérard Gazay l’ont annoncé de concert, « la réouverture de la voie de Valdonne est la priorité numéro 1, en étudiant la possibilité que le tramway aille jusqu’à Valdonne ». Une étude de faisabilité doit être menée, sans pour l’instant de délais donnés. Sur 14 km, la voie ferrée de Valdonne, aujourd’hui désaffectée, relie La Bouilladisse à la gare d’Aubagne. La précédente majorité avait déjà largement avancé sur cette réouverture avec l’idée d’un tram-train.

« Il faut déterminer les coûts et voir les différentes options qui peuvent êtres faites », avance, prudent, Bertrand Robin. Contacté ce lundi, celui qui était jusque-là chef de la mission tramway est aujourd’hui « sur une voie de garage », comme il le dit lui-même… En clair, son contrat s’est déjà achevé. Sa connaissance du dossier et ses compétences techniques auraient pourtant pu être utiles dans le cadre de cette fameuse étude de faisabilité. Sans tirer de conclusions hâtives, au vu des rails du tram, de ses rames et de la configuration de la voie ferrée de Valdonne, un sacré casse-tête technique s’annonce pour adapter l’ensemble.

Valdonne à la métropole

Surtout que commande a été faite à Alstom de huit rames, que le constructeur français ne pouvait étaler dans le temps. Ces huit rames devaient, à l’origine, servir pour l’ensemble du projet de La Penne aux Paluds. Aujourd’hui, impossible de faire machine arrière. « Si l’Agglo, se rétracte, il faudrait rembourser quasiment l’intégralité de la commande », souffle Bertrand Robin. La nouvelle majorité a donc pris le -gros- risque de se retrouver avec huit rames sur les bras pour 2,7 km si d’aventure l’option Valdonne échouait.

A cette inconnue technique, s’ajoute une donnée financière et temporelle tout aussi incertaine. Quand et avec quel argent migrer vers Valdonne ? Sachant que les subventions versées pour le tram ne le sont que pour ce projet et que l’État serre la vis de toutes parts. Qui plus est, la suppression de l’écotaxe a eu pour dommage collatéral la remise en cause de 120 projets de transports en commun, dont celui du tram-train de Valdonne. Ceux-ci devaient être en partie financés par les recettes prévues par l’écotaxe.

Quant à son éventuelle réalisation, Sylvia Barthélémy la repousse déjà après 2016. « Nous avons là un vrai projet communautaire que nous pourrons tout à fait mettre dans la corbeille de la mariée avec la métropole. Pourquoi nous en priver ? », ose avouer la présidente de l’Agglo, qui aura tout loisir, au cas où, de se dédouaner sur le « mastodonte ».

En attendant, le flou et l’expectative demeurent. Quel avenir pour les treize agents en service à la Mission tramway, dont une grande majorité sont contractuels… ? Une pensée aussi pour tous les citoyens qui, depuis 2008, ont travaillé à l’atelier tramway. Le projet tombé à l’eau, c’est également des centaines d’emplois qui ne verront pas le jour.

Quel plan pour le centre-ville ?

Passé à la trappe, le projet -pourtant déclaré d’utilité publique- ne circulera pas dans le centre-ville. Au grand soulagement immédiat de nombreuses personnes, qui voyaient là une catastrophe pour les commerçants ou la circulation routière. Les travaux sont certes un douloureux moment, même si des dispositifs d’aides financières existent pour les commerces.

Avec en général, un résultat final qui redonne du cachet aux fonds de commerces. Un constat très révélateur qui laisse penser que le tramway est tout sauf dévastateur : de nombreuses annonces de vente ou locations immobilières à Aubagne mentionnent déjà « proximité tramway » dans le descriptif de leurs biens…

Cette vision à court terme ne fera pas oublier que avec tram ou sans tram, le centre-ville a besoin d’être revitalisé. On attend donc toujours le projet alternatif de la nouvelle majorité pour redynamiser un secteur clé, qu’elle reprochait à ses prédécesseurs de laisser à l’abandon.

Après « Le petit monde de Pagnol », les visiteurs risquent donc bientôt de se presser à Aubagne pour admirer le plus petit tramway au monde. Une attraction touristique qui ne figurait pas dans le programme municipal de Sylvia Barthélemy et Gérard Gazay.

Florent De Corbier (La Marseillaise, le 8 mai 2014)

Les essais en bonne voie

On aurait presque tendance à l’oublier avec l’arrêt annoncé de la phase 2, mais les essais sur le premier -et donc désormais- unique tronçon, du Charrel au pôle d’échanges, se poursuivent.

Démarrés le 17 mars dernier, les premiers tours de roues sur rails entre le centre de maintenance (Tourtelle) et le Charrel ont depuis progressé. « Tout se déroule correctement, les travaux avancent normalement », confie-on à la Mission tram.

Trois rames sur les huit sont pour l’heure sur site, l’arrivée des cinq restantes se fera progressivement jusqu’à la mise en service toujours prévue pour septembre.

La semaine passée, une rame a effectué le trajet complet Charrel-pôle d’échanges pour la première fois. Les voyages de rodage vont s’accélérer avec toute une batterie de tests.

A partir de mi-juillet, les Autobus Aubagnais, qui exploitent le réseau de transports en commun, prendront le tramway en main pour un mois de circulation à blanc. Viendra enfin l’arrêté préfectoral, qui donnera le feu vert au lancement de l’exploitation.

 
 
 
 
 
 
« Le bonheur est une idée neuve en Europe. » Saint-Just (révolutionnaire français, 1767-1794)