Fédération de l'Oise

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Ciné-Débat autour du peuple Kurde : "Ez Kurdim". (Poitiers)

le 21 novembre 2016

Les Etudiant.e.s communistes de Sciences Po Poitiers vous invitent à une projection débat du film Ez Kurdim de Antoine Laurent et Bertrand Nicolas.

Débat autour du peuple Kurde, animé par un conseiller national du MJCF (Mouvement Jeunes Communistes de France) aux questions internationales.

Entrée gratuite

Vendredi 2 décembre de 18h à 20h
Amphi Bolivar, Sciences-Po Poitiers

Renseignements

Cinéma : "La sociale". (Poitiers)

le 21 novembre 2016

La sociale
De Gilles Perret
France - 2016
1h24
documentaire
VF
diffusion : 2016

Il y a 70 ans, les ordonnances promulguant les champs d’application de la Sécurité sociale étaient votées par le Gouvernement provisoire de la République. Un vieux rêve séculaire émanant des peuples à vouloir vivre sans l’angoisse du lendemain voyait enfin le jour. 70 ans plus tard, il est temps de raconter cette belle histoire de « la Sécu ». D’où elle vient, comment elle a pu devenir possible, quels sont ses principes de base, qui en sont ses bâtisseurs et qu’est-elle devenue au fil des décennies ?

TARIF SOIRÉE : 5,5 € (SAUF ADHÉRENTS : 4 €)

Cinéma Le Dietrich, 34 boulevard Chasseigne à Poitiers.

Renseignement
   
 

Cinéma : "La sociale". (Poitiers)

le 21 novembre 2016

La sociale
De Gilles Perret
France - 2016
1h24
documentaire
VF
diffusion : 2016

Il y a 70 ans, les ordonnances promulguant les champs d’application de la Sécurité sociale étaient votées par le Gouvernement provisoire de la République. Un vieux rêve séculaire émanant des peuples à vouloir vivre sans l’angoisse du lendemain voyait enfin le jour. 70 ans plus tard, il est temps de raconter cette belle histoire de « la Sécu ». D’où elle vient, comment elle a pu devenir possible, quels sont ses principes de base, qui en sont ses bâtisseurs et qu’est-elle devenue au fil des décennies ?

La séance du mardi 22 novembre à 20h30 sera suivie d’une rencontre avec le réalisateur Gilles Perret. En partenariat avec Filmer le Travail.

TARIF SOIRÉE : 5,5 € (SAUF ADHÉRENTS : 4 €)

Cinéma Le Dietrich, 34 boulevard Chasseigne à Poitiers.

Renseignement
   
 

festival-filmerletravail] Ciné-débat "La Sociale" de Gilles Perret - Mardi 22 novembre à 20h30 au Dietrich

le 20 novembre 2016

L'association Filmer le travail en partenariat avec le cinéma Le Dietrich  vous propose un ciné-débat autour du film La Sociale de Gilles Perret.
 
Auteur de 12 documentaires, Gilles Perret aborde à travers ses films la réalité du monde politique, économique et social en partant du local pour raconter le global. C’est ce regard singulier qui a fait le succès de ses derniers films. Avec La Sociale, son cinquième film sorti dans les salles de cinéma, il nous raconte l’étonnante histoire de la Sécurité Sociale, d’où elle vient, ce qu’elle est devenue et ce qu’elle pourrait devenir. Une histoire peu ou pas racontée jusqu’à ce jour même si elle nous concerne tous. L’histoire d’une lutte qui n’est jamais finie.
 
Nous vous donnons rendez-vous mardi 22 novembre à 20h30 au cinéma Le Dietrich pour assister à ce ciné-débat en présence du réalisateur Gilles Perret

 


22
novembre

2016
20:30

Lieu : Cinéma Le Dietrich, 34 Boulevard Chasseigne, Poitiers

Horaire : 20H30

Tarif : 5,5€ /  Bourse spectacle : 3€

 

La Sociale

Un film de Gilles Perret

Documentaire – France – 84’ – 2016 – ROUGE PRODUCTIONS

Il y a 70 ans, les ordonnances promulguant les champs d’application de la Sécurité sociale étaient votées par le Gouvernement provisoire de la République. Le principal bâtisseur de cet édifice des plus humanistes qui soit se nommait Ambroise Croizat. Qui le connaît aujourd’hui ? Il est temps de raconter cette belle histoire de “la Sécu” : d’où elle vient, comment elle a pu devenir possible, quels sont ses principes de base, quels en furent les bâtisseurs et ce qu’elle est devenue au fil des décennies.

En présence du réalisateur Gilles Perret.

 

=>

“Déjà auteur d’un documentaire sur le programme du Conseil national de la Résistance (“Les Jours heureux”, 2013), Gilles Perret continue son travail de mémoire.” Télérama

“Le réalisateur Gilles Perret retrace l’histoire de l’institution, née après la Libération et attaquée désormais de toutes parts.” Le Monde

C’est tout l’intérêt de ce documentaire que de réhabiliter un homme et une oeuvre, en rappelant combien les lois du marché et leurs appétits voraces constituent une menace pour notre système de protection sociale.” aVoir-aLire.com

“Après son remarquable “Les Jours heureux”, consacré au devenir du programme de la Résistance, Gilles Perret célèbre sa plus belle concrétisation : la Sécurité sociale. Un film combatif et stimulant.” Les Fiches du Cinéma

 

 

Conférence de Serge Wolikow à Pierre Vives

le 17 novembre 2016

Conférence de Serge Wolikow à Pierre Vives

Cher-es camarades,

 

Que dites-vous d’une soirée autour de « 1936 : le monde du Front Populaire ? »
C’est le titre de l’ouvrage que l’historien et chercheur de renommée internationale, SERGE WOLIKOW a publié au Cherche midi.
Nous vous attendons avec lui, pour une passionnante Conférence-débat mais pas que !

Vendredi 25 Novembre 2016, à Montpellier

à l'auditorium de la médiathèque départementale Pierres Vives
907 rue du professeur Blayac
34080 Montpellier
tram L3 arrêt hôtel du département puis bus 19 vers Coubertin arrêt léonard de Vinci
ou tram L1 arrêt halles de la Paillade ou bus 19

Au menu :

17h30 Accueil (Librairie Diderot ; et installation possible de documents et panneaux, pour les organisateurs et partenaires)

18h-18h30 : Chansons autour du Front Populaire (avec 5 musiciens-comédiens d’Acte Chanson)
18h30-20h30 : Conférence de Serge Wolikow et échanges avec le public

20h30 : Une petite dernière d’Acte Chansons

 

Entrée Libre

 

« Que reste-t-il du Front populaire ? »

Les recherches de Serge Wolikow autour de 1936 (hors toute recherche de modèle bien entendu), incitent aux réflexions sur aujourd’hui, et pour demain :

crise économique et sociale, montée des extrêmes-droites, mais aussi dimension internationale (guerre d’Espagne, fascisme allemand, rôle de l’URSS -avec l’ouverture récente d’archives-) ;

les raisons du rassemblement, élections, grèves massives associant ouvriers, employés, Français et étrangers, hommes et femmes…

également, blocages, difficultés du Front populaire à tenir ses  engagements, dislocation finale provisoire…
Le tout encadré par DIX chansons ou poèmes de fête et de lutte avec force instruments de musique, de « Citroën » à la guerre d’Espagne, de « La femme libre » à « Soleil rouge »…

Acte Chanson va faire feu de tout bois !

 

Plusieurs autres partenaires sont pressentis pour co-organiser cette action initiée par les communistes Montpelliérains :

syndicats, associations d’éducation populaire, culturelles, antifascistes ; universitaires…
Si intéressés, n’hésitez pas à nous contacter.
Qu’on se le dise !
A très bientôt, pour cette soirée publique, le vendredi 25 Novembre.

Contacts :
Roger Moncharmont responsable PCF Montpellier : pcf.montpellier@orange.fr ;
Serge Ressiguier, ressiguierserge@wanadoo.fr

 

Concert du CEP le 26 novembre 2016

le 17 novembre 2016

Concert du CEP le 26 novembre 2016

N° 13 de la Revue progressiste : Jeunesse regards sur le progrès

le 15 novembre 2016

"Cette jeunesse nous parle de politique, du manque d’emplois, de
la situation difficile de l’enseignement supérieur. Elle nous parle
de ce grand gâchis de générations entières laissées à l’abandon,
sans formation, alors que de grands défis, nécessitant des métiers
de plus en plus qualifiés, sont posés pour construire le monde de
demain, et auxquels il est essentiel de répondre. Elle nous parle
enfin des grands problèmes liés à l’environnement, à la préservation
des ressources, au réchauffement climatique."

Bravo à l'équipe de Progressistes pour ce numéro audacieux !

 

Hugo Pompougnac

 

Diffusion du documentaire de France 3 Provence « Marseille, une mémoire intime »

le 11 novembre 2016

Diffusion du documentaire de France 3 Provence « Marseille, une mémoire intime »

« Marseille, une mémoire intime »

Un film de 52’ réalisé par Jean-Louis André et Axel Clévenot
Coproduction France 3 Provence-Alpes / Armoni Productions /
Aller Retour Productions, avec la participation de la chaîne Histoire
Avec le soutien du CNC

Variation sur le vers de Baudelaire : “la forme d’une ville change plus vite (hélas) que le cœur d’un mortel”. Un récit inspiré par une mémoire personnelle, celle du réalisateur Jean- Louis André, marseillais, qui évoque ici ses souvenirs de Marseille et d'autres, communément partagés.

Une évocation intime du Marseille d'après-guerre nourrie d'archives inédites.

Un film réalisé par Jean-Louis André et Axel Clévenot.

Une coproduction France Télévision, Armoni Productions, Aller Retour Productions, avec la participation de la chaîne Histoire et le soutien du CNC.

Le film sera diffusé lundi 21 novembre après le Soir 3 sur France 3 Provence-Alpes & Côte d’Azur pour ceux qui ne viendront pas à cette avant-première.

N° 8 de Carnets rouges : Chacun pour soi ou savoirs pour tous : quelle école pour demain ?

le 10 novembre 2016

Lisez le dernier Carnets Rouges, revue du Parti communiste sur l'école.

Voici l'éditorial

Transformer l'école : refondation ou révolution ?

La refondation annoncée du système éducatif n'est pas au rendez-vous : elle s'inscrit dans un cadre idéologique, une vision sociale et une politique qui ne remettent pas en cause les dogmes libéraux de concurrence, de compétition, de réduction des coûts, notamment humains, servant ainsi de fait un système capitaliste en voie d'imposer une nouvelle division du travail conforme à ses intérêts.

Le rendez-vous est donc manqué avec l'exigence sociale d'une école de l'égalité de tous dans l'appropriation de savoirs véritablement émancipateurs : les textes programmatiques des premier et second degrés illustrent les contradictions d’un système décidément inégalitaire. L'affirmation du "tous capables" inscrite dans la loi de refondation entre ainsi en contradiction avec la fonction de tri social qui continue à être assignée au système éducatif. Le risque est double : le bouleversement idéologique qu’apporte le tous capables se trouve réduit à de la com ; ou alors devient une injonction (discours et textes officiels) impossible en tant que telle à mettre en oeuvre, engendrant ainsi chez les enseignants, chez les élèves et les familles des classes populaires, frustration, sentiment d'impuissance, résignation (ou révolte...).

Il est alors urgent d'affirmer, et de rendre populaire, l'idée que l'école est un enjeu politique -mais aussi anthropologique et éthique majeur, qu'entre "tous capables" et égalité de droits d'une part et un tri social fondé sur le tri scolaire d'autre part, il faut choisir ou à tout le moins relever les contradictions. Car c'est bien à partir d'une analyse lucide des contradictions du système public d'éducation tel qu'il (dys)fonctionne et tel qu'il est pensé et vécu par le corps social, que peuvent s'opérer les ruptures nécessaires à sa transformation :

Comprendre, pour mieux les combattre, comment opèrent la marchandisation de l'école, actée en 2000 à Lisbonne, et sa privatisation rampante, sans que les principaux intéressés en prennent la mesure, croyant même pouvoir y trouver leur compte.

Comprendre, pour mieux la combattre, comment l'idéologie la plus réactionnaire, qui fait la une des médias, prône une "innovation", une "bienveillance" qui s'appuient sur la naturalisation des différences entre individus, réactivant ainsi ce que l'on pensait être les vieilles lunes des dons ou du handicap socio-culturel, trouve un echo grandissant, y compris au sein du corps enseignant.

Comprendre (c'était le thème du précédent n° de la revue) comment le métier d'enseignant se trouve empêché, gagné par la précarisation, et comment les laissés-pour-compte du système scolaire, en particulier les élèves issus des classes populaires, sont désignés comme responsables voire coupables de leurs échecs et même du dysfonctionnement de l'école, de la maternelle à l'université.

La place de l'école ne cesse de s'affirmer tant dans les histoires individuelles que collectives, la complexification du monde dans lequel nous vivons exige que tous les enfants soient de mieux en mieux formés à réfléchir, comprendre, coopérer, si l'on ne veut pas les condamner, nous condamner, à la soumission et à la docilité d'exécutants de tâches et de "jobs" dénués de tout sens social. C'est bien en cela que l'école est l'espace même du politique.

La nécessité d'une autre école s'impose donc à tous. Elle s'inscrit dans un rapport de forces. Rapport complexe qui implique des responsabilités diverses, de niveaux différents, contradictoires et conflictuels.

Responsabilité des politiques (y compris "progressistes") bien sûr, dont on doit exiger la clarté politique sur l'enjeu, la définition et les conditions de fonctionnement d'un système éducatif public fondé sur l'égalité de tous et l'émancipation individuelle et collective.

Responsabilité des enseignants qui ne peuvent se satisfaire d'une formation initiale et continue exsangue et de conditions d'exercice du métier faisant l'impasse sur les conséquences sociales et humaines de toute pratique pédagogique.

Responsabilité des citoyens, c'est-à-dire de nous tous, qui ne pouvons-nous contenter de laisser à quelques-uns la possibilité de décider de cet enjeu de taille qu'est l'avenir de notre société. Un avenir qui se construit aujourd'hui : Quel rôle de l’école ? Quelle conception de la culture, des savoirs et des modalités de leur transmission...?

L'heure n'est plus aux petits aménagements, aux fausses réponses ("bonnes pratiques", nouvelles technologies...) qui sont autant de leurres pour ne pas affronter l'essentiel : la nécessaire égalité dans l'accès aux savoirs et l'affirmation en actes de la capacité de tous à apprendre, se transformer, s'émanciper....

"Se battre intelligemment dans le champ des idées est de capitale importance politique" écrivait Lucien Sève dans le n°5 de Carnets Rouges.

Christine Passerieux. Patrick Singéry

 

Si vous souhaitez vous abonner, remplissez et expédier le bulletin de souscription situé en dernière page.

 

Hanna. Ils prirent tous le train

le 10 novembre 2016

Hanna. Ils prirent tous le train

« Hanna

Ils prirent tous le train »

De Claire Carpentier et de Gisèle Cailloux

 

Hanna, c’est la mère de Gisèle.

Claire, c’est la petite fille d’Hanna.

Ils, c’est la famille de Gisèle.

Ils ont tous pris le train pour se réfugier en France ou pour un aller direct pour Auschwitz sauf pour le grand père de Gisèle qui n'a pas eu le temps de prendre le train car il s'est fait arrêter le lendemain de la nuit de cristal du 9 au 10 novembre 1938 et est mort, un mois après, dans le camp d’Orianenburg-Sachsenhausen.

La grand-mère de Gisèle a survécu plus qu'elle n'a vécu en essayant de ne pas mourir de faim et de misère. La mère de Gisèle arrivée en France très jeune, a traversé bien des épreuves avec la rage de vivre chevillée au corps et n'a jamais renié ses convictions humanistes. Elle a refusé de partir en Palestine à la fin de la guerre, n’acceptant chasser un peuple pour qu’un autre s’installe à la place. Elle a dû se battre pour survivre après la guerre, n’ayant pu recevoir de formation. C'était une personnalité marquante du Parti communiste à Vanves.

Un petit livre à méditer à l'heure où la couarde et intolérante Europe repousse avec violence les réfugiés dont certains ont la malchance de vivre sur des terres riches en pétrole dont les médias, sauf l'Humanité, se gardent bien de nous expliquer qu'elles sont un des enjeux majeurs dans la guerre actuelle qui dépèce la Syrie. 

 

Catherine Sceaux

 

 
 
 
 
 
 
« Le bonheur est une idée neuve en Europe. » Saint-Just (révolutionnaire français, 1767-1794)