À ne pas manquer !
Rendez-vous les vendredi 9 et samedi 10 marspour les 3e États généraux de la révolution numériqueorganisés par la commission Révolution numérique Parti Communiste Français siège du PCF à Parisplace du Colonel Fabien |
Ces États généraux avec plus d’une douzaine de débats aborderont tous les grands enjeux de la révolution numérique : l’Intelligence artificielle, le big data, la transformation numérique des entreprises et des services publics, la blockchain, le transhumanisme, les réseaux sociaux, la neutralité du net, les Commun, la lutte contre les GAFAM et les NATU, les plateformes coopératives, la question de la propriété intellectuelle, le travail et la robotisation, les jeux vidéo.
Participeront entre autres à ces États généraux : Laurence Allard, Serge Abiteboul, Michel Bauwens (Fondation P2P), Benjamin Bayart, Nicolas Bonnet, Danièle Bourcier, Ian Brossat, Antonio Casilli, Kevin poperl (Coopcycle), Isabelle de Almeida, Arthur de Grave (Oui Share), Cécile Dumas, Sébastien Elka (Progressiste) Olivier Ertzscheid, Patrice Flichy, Pierre-Yves Gosset (Framasoft), Jean-Gabriel Ganascia, Fabien Gay, Michel Lallement, Yann Le Pollotec, Benjamin Loveluck, Isabelle Mathurin, Sylvie Mayer, Jean-Luc Molins (UGICT-CGT), Alain Obadia (Fondation Gabriel Péri), Sophie Péne, Jacques Priol, Guillaume Roubaud-Quashie (Cause Commune), Aymeric Seasseau, Marie-Pierre Vieu, Francis Wurtz, Igor Zamichiei.
Il s’agit sur tous les terrains et enjeux de la Révolution numérique de disputer le pouvoir au capitalisme, en s’appuyant sur les contradictions qu’elle génère et sur les possibles qu’elle ouvre.
Loin de toute fascination technophile ou effroi technophobe, ces États généraux seront un lieu ouvert de construction d’une véritable pensée politique critique et émancipatrice de la révolution numérique. Au moment où le gouvernement vient d’assassiner le Conseil national du numérique et où les États-Unis remettent en cause la neutralité du net, il est d’autant plus important de créer de tel lieu de politisation.
Dans le débat, la confrontation et la construction politique se mêleront experts, praticiens, syndicalistes et dirigeants du PCF, mais aussi militants, citoyens impliqués ou simple curieux.
Il s’agit aussi de sensibiliser aux enjeux politiques de la révolution numérique et de les rendre intelligibles à tous, avec le concours de celles et ceux chercheurs comme militants qui sont les plus en pointe sur ces questions.