À l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, ma première réaction se résume en regret : si la gauche de changement avait su se doter d’une seule et unique candidature, elle serait présente au second tour. Nous ne serions pas face à ce dilemme, qui nous contraints de choisir entre l’extrême droite historiquement porteuse de malheur et un libéral assumé qui nous garantit une politique dont les Français ne veulent plus.
Je fais confiance aux électeurs pour prémunir la France du pire.
Il nous faut envisager la suite. Les élections législatives seront l’occasion de se doter de députés pour parer les mauvais coups et transformer l’essai de l’excellent résultat de Jean-Luc Mélenchon, notamment dans les villes de ma circonscription que nous dirigeons, en rassemblant, cette fois-ci la gauche de progrès afin qu’elle porte la voix des électeurs à l’Assemblée nationale.
le 24 avril 2017
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