Francis Wurtz présente trois conséquences potentielles de la sortie de l'euro. La première concerne la compétition entre les nations, avec des dévaluations en série laissant exsangue le monde du travail et la conquis sociaux. La deuxième est la possibilité offerte au marchés financiers en rien désarmés d'attaquer les pays ainsi isolés. Enfin, le risque réel d'une explosion des nationalismes.
Le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) doit absolument évoluer pour permettre le développement humain, la transition écologique, une bonne croissance.