J’ai appris hier le décès de Fernand Tuil. Je le savais aux prises avec la maladie. Il l’affrontait avec courage et détermination, comme il a mené les combats, qui ont animé sa vie.
Je conserverai en mémoire sa vigueur, son engagement militant, sa gentillesse et son enthousiasme... Et bien sûr, le merveilleux travail accompli au service de la cause du peuple palestinien, au service duquel il s’était mis corps et âme et qui lui était nationalement et internationalement reconnu.
Fernand demeurera l’incarnation même de l’espoir dans le combat politique, un message dont nous avons tant besoin.
J’adresse toutes mes condoléances à sa compagne, à ses enfants, à sa famille et à ses proches.