Mot de Nellie, coordinatrice de l'édition 2017
Ceux dont on ne pourra pas dire qu'ils auront leur langue usée bien avant leurs bras
Vous avez aimé la Fête de la Paix du PCF dans le cadre magnifique du parc du Prieuré de Montataire ?
Ses débats politiques ? Ses 24 associations présentes grâce à leurs bénévoles ? Les expositions « Migrant-e-s, réfugié-e-s, humains d'abord », « Brigades internationales », celle proposée par l'ANACR « Les communistes ont du talent » ? Son programme musical de qualité concocté par Pascal Lambert : Vent Pire et son accordéon, Samson Schmitt et son Jazz Manouche, la Bande de Beauvais et ses danses afro-brésiliennes, ses percussions ? Un sonorisateur de qualité pour que d'un bout à l'autre de la fête chacun puissent suivre les débats ou entendre la musique ?
Mais derrière tout ceci, il y a plein d'amis et camarades qui ont collé des centaines d'affiches, distribué des milliers de tracts, organisé les rendez-vous, commandé les boissons, préparé les achats (Isabelle et Lina), chargé du matériel dans le camion, monté et démonté les 30 stands avec leurs 250 chaises, 115 tables et 80 grilles, l'espace cuisine, restauration et buvette (250 m2 de chapiteau) les jeux pour enfants (jeux picards), fait 500 kms au volant du camion, tracté la caravane afin que ceux qui restant sur place pour faire le gardiennage puissent se reposer. Les cuisinier-e-s pour leur magnifique paella : (180 repas servis). Tout ceci bénévolement, alors un grand merci à Alain Boucher, Claude Courtin, Jean-Claude Bergès, Jeannette Laude et son fils Mickael, Henri, Francis, Frédérique Landas, Françoise, Marie-Paule Saint-Yves, Pépette, Yvette Cesbron, Chantal Gouin, Danielle, Christiane Carlain, Karim Boukhachba, Catherine Dailly et toute sa famille, Gil Boulanger, Germain, Christophe Chevallier, Gilles Buzin, Claude Reignard, Marc, Françoise Bailleux et ceux qui ont mis leur matériel personnel à disposition Jean-Louis Besse, JBB, à ceux qui sont restés pour demonter leur stand : Josée Pereira Jean Levasseur et sa femme. J'en oublie sûrement, qu'ils m'excusent mais tout ça pour leur dire que je veux aujourd'hui leur dire « bravo », vous les sans-grades, les discrets, ceux dont on ne pourra pas dire qu'ils auront leur langue usée bien avant leurs bras. VIVA EL COMMUNISMO y LA REVOLUCION